TOI…Ce refrain au milieu des arbres

Un murmure, une plainte, un simple geste de tes mains glissant sur ma peau
Déferlent dans mon être une sensation inexplicable, impossible, cruelle.
Tes mains sont simplement une note de musique de nulle part ;
Tes baisers et tes lèvres sont une harmonie des abysses de la mer.
. . . Au rythme de ton corps et de ta vibration,. . . Avec un léger gémissement,
Tu as timidement posé ta signature au fond de mon intimité.
Alors, TOI . . .

dff.jpg
Au sommet des collines, des monts et des mers
Aux abysses du vent, du temps et de l’espace
Ta voix hante mon cœur, ton sourire dévaste mes pensées
Ton corps, ta peau, ton souffle éclatent les murs de mon âme,
Les émotions oubliées de mon corps et de ma bouche sur ta sensibilité
Me font sombrer dans un monde irréel, dans un monde impensable,
Me font rougir tout simplement au fond de ce lit au rythme de tes gestes.
Je perçois un bruissement dans le feuillage qui dévie mes inspirations,
C’est ton être qui arpente mes sensualités et tes lèvres qui insultent ma peau ;
Il semble que le ronronnement du sirocco faufile au sommet des piques et des montagnes EH NON . . . ce sont seulement nos cris de passions et de délirent qui ont révolté le vent.

Ton regard est une divinité du ciel, des étoiles et de l’inépuisable . . . encore
Ton sourire est une dédicace oubliée sur une passerelle un soir de gala . . . naguère
Ton corps est un hommage aux immortelles des temps anciens . . . cependant
TOI, tu es tout simplement la continuité de mon parcours le fini de mes écrits
Le terminé de mes lettres et de mon chemin.

Tu as imprégner mon corps et mon âme, de ton souffle et de ton regard
Tu as noyé mon esprit et mes pensées avec tes baisers et ton beau sourire ;

Mon amour pour toi défi le délire, mes sentiments se confondent avec la démence,
Mon cœur depuis ce jour de mai, hélas, ne bat que pour toi
Mes pensées ne jurent que par toi, ta voix est mon unique envie de continuer
Comment est-ce possible ?

Quand ta bouche a effleuré mes lèvres et ton souffle a pénétré ma peau,
Les refrains de l’absolu et de l’incommensurable se sont inclinés,
Alors, Larousse a du accepter que je défie ses mots et ses syllabes ;
Que sera-t-il donc, le jour où tu poseras tes mains sur mes parties sensibles
Que sera-t-il donc le moment où tu devras disposer de mon corps et de mes ardeurs
Qu’adviendra t’il donc de moi quand tu devras tout simplement faire jouir mon érotisme
Oh, impensable . . . !

Au fins fond de la nature, au milieu des arbres j’ai inventé une romance pour ton nom
Au rythme des vagues du pacifique, j’ai repensé une symphonie pour tes lèvres
Au couché du soleil au perdurable du temps, une douce sonate pour ton souffle
A la cadence de la brume du jour, j’étalerai à tes pieds des pétales de fleurs colorées
Quand alors tu t’endormiras, la nature montera la garde et veillera sur toi
Le rythme d’une muse couvrira la terre, défiera les océans, attaquera les rayons de la lune
Alors, . . .
Ce refrain que tu entendras au milieu des arbres sera une dédicace ou encore,
un moyen plus sensuel pour te dire que je t’aime.

19288bigthumbnail.jpg

extraits du 1er. recueil de Sybille Figaro – Abstraits Penshés, Rythmes & Sentiments ***tous droits réservés***Bisou



Laisser un commentaire

LESCHOZDEMONKORPS |
Contes de Brocéliande et d'... |
Graine D'Auteur |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Suzanne PATRICK
| féeri
| Lectures croisées