TOI . . . mon lied mon dernier concerto
Un refrain au milieu des arbres, un pas dans les sentiers de mon ombre
La nature et mon âme sont en péril, puisqu’au tournant de ma vie pourtant retirée
Un long soupir, un léger gémissement, un sourire inimaginable.
Alors que le vent siffle avec rage et que les rayons du soleil réchauffent le firmament
Une apparition un simple matin de ce mois de mai, loin déjà . . . TOI. . .
Allait enivrer mes cellules de ton sourire, de ton regard, de ta chaleur ;
et J’ai cru entendre dans le lointain le cri de tes émotions au milieu de ce grand lit.
Un homme d’ailleurs, un homme d’hier, un seul homme, TOI . . .
Allait violer les frontières de ma vie, de mon cœur, de tout mon être.
Cet homme d’un matin de printemps, cet homme d’un jour de mai,
Cet homme de l’autre , cet homme d’une autre,
A perturber les sentiers jadis épineux sinon impénétrable de mon cœur
A fait couler en lave impossible ma volupté pourtant insensible aux autres
A excité les bas-fonds érotiques de mon corps en chaleur
A anéanti les vagues impénétrables et impassibles désormais de mon âme.
Mes sens sont en pleurs et mes larmes en périls
Mon érotisme est en transe et mes lèvres béantes en colère,
Suivent ta muse pour chanter, ton charme pour sommeiller
Tes lèvres pour s’abreuver et ton corps pour se refugier.
Dans le continu de ce monde improbable et impétueux . . . encore ;
Mes passages poétiques et mes cantates vacillent au rythme du vent
L’émotion de cette sensation en sérénade oubliée et concerto perturbé
A faibli mon être, a minimiser mes sens, a ébranler mon équilibre.
L’espace d’un souffle, un bohême au cœur du cosmos est crée,
Une sonate des fins fonds de l’océan est entamée
Un regard, un simple sourire, un léger baiser
A basculer dans l’absolu de l’oubli et de l’incertain, mes sentiments, mes idées.
Ma pudeur érotique c’est enflammé,
Ma chair, mon désir, ma volupté sont révoltés
Quand ton regard a seulement frôlé mon souffle,
Et que ton seul sourire a bousculé mon cœur
Dans les tréfonds impérissables de ce grégorien en branle
Et de cette prose jadis enterré dans limbes infernales d’une vie passée. Toi, ohé toi !
Qui à jurer dans mon sentier un matin par hasard
qui à fatigué ma guitare et érailler mon manuscrit ;
Toi, qui a truqué mes notes de musique et changé mes cantabiles en solo
qui a viré mon regard, dévié mon cœur, ensorcelé mon esprit et mes pensées toi,encore toi, qui a changé le lie de ma rivière, pillé mes sentiments, fissurer mes pores Toi oui toi ; tu as saigné ma saga et profané ma pyramide
…Sais-tu que ?
Des abysses impénétrables de l’océan tu as instruit un refrain impossible, Qu’au cœur de l’incalculable tu as repeint un chorale sans titre,
Qu’au creux de mon cœur et de mon corps tu as estampé les refrains du vent.
Sais-tu que ? Tu as laissé l’humide de ton être et le son de tes lèvres sur ma peau,
Que tu as inscrit avec ton premier baiser ton nom dans les tréfonds intouchables de mon cœur
Que dans le cul de mon âme, ton regard restera à jamais ma source de beauté,
Et ton souffle, mon baume de chaleur et de réconfort.
Elle . . . dans son cœur,
Son âme délire, ses sentiments pleurent, ses larmes blessent son spiritueux
Elle est dans une impasse sentimentale de sa vie et de ses désirs,
Elle veut pouvoir te parler, elle veut oser soutenir ton regard,
Elle veut faire de ton corps et de tes gestes ses délires émotionnels
De ton merveilleux sourire elle veut faire, son lied son dernier concerto.
Premier Recueil : « Abstraits Penchés Rythmes & Sentiments’ de Sybille Aisha Figaro ***tous droits réservés***
Sybille A. Figaro 18 février
si agreable donc serait ce moment
Sibylle 24 juin
Si seulement ne serait ce qu’un dernier concerto qui le ramenerait!!!!
+1
Gaelle 10 août
Si seulement ne serait ce qu’un dernier concerto qui le ramenerait!!!!