Silence, le ciel est en train de pleurer . . .

Le ciel est en train de pleurer, il cherche son compagnon, il cherche ses nuages

La galaxie est en train de noircir, elle cherche ses rayons de lune et ses étoiles

Le levé du soleil est affligé, il a égaré son aube et sa symphonie matinale

Le soleil de 12 heures s’est endormi sur demande de la brume du matin

Qui a trop de déchirement et de peine pour entamer un nouveau jour.

Silence, le ciel est en train de pleurer . . . dans Peur & silence 5

Mon verbe court à la recherche de ses conjugaisons et de ses phrases,

Mes calculs sont insensées, leurs formules se sont fâchées et sont parties

Mes lèvres ont égarés leurs syllabes et sa muse, leurs trillent agonisent

Le temps a sombré dans le silence, il a peur, il se meurt, il pleur,

La déchéance est dans le monde, dans les cœurs et sur les pavées de nos corps

La nature ne parle plus, sa grammaire est remplie de fautes et de mots inexacts.

Le silence murmure avec son ombre dans la vallée du silence, du résigner et du tabou

Les sillons dans les bois se taisent et se cachent sous les grosses racines et les fatras

Les fougères, les plantes grimpantes se sont tuent, la peine martyrisent leurs entrailles

Les fleurs séchées et les feuilles mortes s’agenouillent de pardon et se rendorment dans la mort

Le monde a perdu la raison, les refrains du rossignol et des oiseaux jaune ou lavande faiblissent

Le creux des océans se meurent, ils pleurs, ils ont peur des nuit d’orage et du crépuscule

Le firmament, poussent des cris de douleur et de profondes tristesses, il est désorienté

Le silence du vent, les plaintes des comètes, la crainte des étoiles ont assaillies le monde.

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Mon silence pleur, les lits des rivières se créent  des sources dans les montagnes de l’abandon

Mes symboles et mes musiques se courbent devant l’indifférence et la méfiance

Les odes du Mont Blanc courent se réfugiés dans les collines volcanique et en  flamme

Les grands pianistes, les grands orchestres des tréfonds du néant font surface,

Le monde est damné par la haine, par les pleurs et par les amertumes de la méchanceté.

ALORS, . . .Vous tous, faites silence, car le ciel est en train de pleurer.

Recueil #4….Sybille Aisha Figaro . tous droits reserves.



CE 12 JANVIER 2010, OH MON DIEU, LA TERRE A TREMBLEE.

Au nom de tous les miens, les siens, les vôtres et les leurs qui sont tombé,

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Tremblements, hurlements, secousses……………émotions

Il était 5 heures quand le temps c’est retourné contre nous

Il était 5 heures quand Dieu a frappé de rage ses pieds sur le sol du ciel

HAITI, HAITI, HAITIENS, MES ENFANTS, CA SUFFIT………….

C’était une vulgaire heure, un 5 heures que nos Lois, nos Esprits ont criés

TI CHOVIM YO, KANPE POU NOU KONN SA NAP FE…

C’était un 12  vers  5 heures que notre nation a poussée des cris de douleur.

Tremblements, tremblements ……………déchirements, tout est effondré

Un mardi ordinaire, ou notre soleil était encore chaud et haut dans le ciel

Ou notre vent était encore frais, et même froid,      ahhhhhh hélas, jadis………………………

Un deuxième jour de semaine de l’an 10 janvier à jamais dans nos mémoires

Un 12ème jour du nouvel an 10 changera pour toujours les couloirs de notre histoire.

Peurs, pleurs, désolations et pertes, cris de douleurs, nos entrailles tombent

Peurs, mystère, humiliations et couler de sang, hécatombes, trous noir nos enfants se meurent

Haïti notre chère Haïti pleura en 35 secondes toute sa vie, toute une histoire

Haïti mon petit pays, Haïti, ma patrie, mon âme, mes tourments

Haïti Dieu est fâché contre toi, mais, qu’as-tu donc fait ?

Haïti, notre sol, notre sueur, notre douleur et notre joie d’hier s’est écoulé

Dans la peine, la douleur, dans le chagrin, la peine et dans l’amertume.

HAITI, MON CHER HAITI, NOTRE CHER HAITI, RENAITRA EN COULEUR,

SIMPLEMENT POUR HAITI…ultimlux collections…sybille figaroSurprise



Humiliations…

Humiliations, pleurs, larmes, oh peuple en agonie

Blâmes, peines, amertumes, enfants endoloris

Traitement haineux, traitement sans traitement

Oh que de brutalité sur nos lits d’hôpital,

Que de méchancetés provoquées pour mourir

Le monde pleur, les femmes enragent,

Leurs entrailles sombres dans la douleur

Et leurs morts s’endorment par mauvais traitement

Réveillons nous, crions, pleurons, vociférons,

Au secours, nos malades on besoin de soin.

Collections Privée/UltimLux de Sybille Aisha Figaro*copyright*Triste



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