Adieu . . .
Comme tanguer dans les fonds marins à la recherche d’une lueur
que j’ai pu enfin trouver au fond de tes yeux en ce jour de mai ;
Comme explorer les fins fonds insensés de l’univers à la recherche d’un ton
que j’ai pu connaître quand tes douces lèvres se posaient au creux de mon cœur ;
J’ai pénétré au cœur de l’impossible avec toi et j’ai connu des heures, des jours,
des secondes de ce bonheur immense que tu as su me prodiguer pendants ces temps passés, aujourd’hui qui penche et chute dans les vallées de l’incommensurable.
Dans les fosses abyssales des mers du Danube,
Une cantate s’empare au fil des heures de ses vagues violentes qui ne retombent nulle part emportant sur les rebords de son manteau notre passion.
Notre amour aujourd’hui est victime du temps qui s’envole,
du vent qui s’enfuit, de la mer qui s’endort,
des forces de l’incalculable qui versent leurs dernières larmes.
Dans les limites de l’au-delà,
Au creux de ce monde qui n’existe plus,
Nos sentiments se sont blottis.
Retourne aux monts des Atlantide,
Déchiffre les écritures que tu trouveras sur l’un des rochers,
Et tu sauras que hier, aujourd’hui et demain, elle t’a remis
L’étendard qui porte ses sentiments pour toi,
Pour toujours et à jamais.
Il faut malgré tout ceci se dire adieu,
je t’en prie ne me regarde même pas une dernière fois,
un jour, au beau milieu de cette Empire Céleste,
je reviendrai dormir dans la douceur de tes bras et de ton corps chaud,
et enlisera nos larmes dans la tendresses de nos gestes.
Du recueil « Abstraits Penshés Rythmes & sentiments » de Sybille Aisha Figaro ***tous droits réservés***
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