Mon amour, ma seule goutte d’eau 19 août
L’amour s’en va, l’amour court, l’amour s’endort, pourtant, . . . l’amour c’est toi.
Au creux du temps et dans les fissures de cette douce muse qu’est ton nom
Une plainte, un cri perçant, un ton léger, un murmure étonnant
Il semble que c’est ta voix qui se confond avec la symphonie des étoiles et qui pleure
Il semble que c’est ton sourire qui provoque les vagues aux abysses des océans et enrage.
Ah !, en songe je perçois l’émotion qui calmement s’endort dans les limites de ton âme ;
Fredonne-moi une lente berceuse, tiens ma main, touche mon sensible, regarde-moi
Laisse-toi aller et jouit de mon corps que je t’offre, de mes yeux qui ne regardent que toi.
Ainsi sera t’il désormais gravé dans les mémoires et surtout dans les lignes de ta vie :
T’aimer est la seule belle goutte d’eau qui ait jamais mouillé mon âme.
Amour sensible, amour sensuel, amour douloureux, oh toi mon amour,
Au cul de la dune et des déserts impénétrables, je ne vois que toi, je ne veux que toi
La brise du nord et les pétales de la lune caresse ton corps, humidifie tes baisers
Dans le lointain de cette prose presque oubliée aux surfaces de tes lèvres
Il semble que la poussière du désert est en transe et vagabonde au centre de l’infini
Il semble que les abysses de la mer sont en tumulte et enragent au milieu du vent
Il semble que mes larmes inondent Babylone et ses parterres fleuris, ou es-tu ?
Ah dans ma mémoire pourtant je me souviens des écritures croates et serbes
Que mon âme a du adopter pour te dire un je t’aime ce jour passé ;
Je me souviens de ces mots du dictionnaire que j’ai dû violer pour te parler ;
Ou sont donc ces grands moments que tu avais créés pour moi jadis ce jour ?
Ou sont donc passés ces sentiments que tu eus pour moi en ce premier regard ?
Enfouis sont-ils dans ce passé désormais arrêté ou par toi délibérément oublier.
Amour qui me fait si mal, amour qui attise mes pleurs, amour qui incite mon érotisme
Oh toi mon tendre amour, oh mon tendre aimé, ah toi ma raison de vivre,
Court donc dans les igues houleuses de la mer et des vagues abyssales, appelle-moi
Court oh toi aux sommets intouchables des monts et des piques volcaniques, touche-moi
Va, va donc au creux de la lune, va aux perdurables du vent, va n’ importe où,
Couche-toi près de mon cœur, mouille ma peau par tes baisers humides
Et je te parlerai de mes écritures, de mes heures, de toutes ces minutes
Passés depuis à ne penser et ne respirer que pour t’aimer et te voir sourire.
Amour intouchable, amour meurtri, oh toi mon amour inaccessible, amour brûlant
Ma saga encore saigne, mes pyramides toujours s’effondrent, le vent du nord s’en va
Les fleurs du temps couvrent les parterres et fanent sans toi, mon cœur agonise ;
Alors . . . laisse-moi donc inventé pour toi des chorales avec les trompettes de la brise,
Laisse-moi donc corrigé pour toi les parchemins du temps avec mes lèvres et mes mots
Donne-moi le temps de revoir pour toi les bises du vent et les refrains de mes je t’aime
Et je tapisserai les fonds de ton âme avec mes crus et mes satires, avec mes sentiments
Je coucherai encore à tes pieds au rythme des concerts de l’armée rouge
Mes émotions et tous ces poèmes qui te diront que je ne veux vivre que pour t’aimer
Que je veux continuer à t’aimer pour provoquer à tout instant ton sourire,
Ce sourire qui provoqua mes cantabiles en solo alors ma furie sentimentale,
Mes odes et mes petites symphonies alors . . . mes impénétrables inspirations.
Second recueil « Nuages sensuels, charnels et . . . indélicat » de Sybille A. Figaro***tous droits réservés***
TOI, Cette légende à la plénitude de ma passion 19 août
Au coeur de la nature aujourd’hui je suis sans toi, . . .
Hier pourtant, j’étais au creux de tes épaules entourés d‘œillets blancs;
. . . Souvenirs désormais.
Dans les couloirs de la brume et les fluides de la rosée de 5 heures en ce matin timide
Mon âme hurle car ses sérénades se meurent au cœur de cet infini silence, Ou es-tu donc ?
Mes lèvres en chaleur cherchent ta pudicité et ma chair en crise quémande ton libertin ;
Tu n’es pas tout près, y seras-tu un peu plus tard ? je perçois pourtant ton ombre à l’horizon,
Marches-tu vers moi, me tends-tu tes mains ou te retournes-tu vers d’autres routes ?
. . . Hélas. . . ! Illusions ! Désirs ! Délires.
Ton sourire et ton charme ont stimulé mon esprit, énervé mes inspirations et attisé mes écritures
Mes proverbes chantent ces mots que je ne connais pas, ces verbes dont je m’avise de conjuguer.
Sous ces grandes vagues aux abysses intouchables des océans, une complainte, une larme ;
À la tombée de la nuit, sentir ta main sur ma peau est ma seule envie, mon seul désir. . .
. . . ehhmmmmm envies inaccessibles, désirs impénétrables,
. . . ah. . . la passion et l’amour se meurent d’amour et de passion, . . . Intolérable, inadmissible, cruel.
Aux étendues inachevées de cet univers remplie de songes, aux limbes de mon esprit en pleur
Une cantilène impressionnante, une prose brûlée, une note inachevée, est-ce que tu t’en vas !. . .
Mes poèmes et mon âme en vain te cherchent, te supplient, ils ne veulent que toi seul ;
Mon cœur est en tort, mes sentiments déraisonnent, ma vie sans toi n’a aucun sens
. . . Ohhhhhhh toi mon amant, ma phrase, toi ma douce romance combien je t’aime
Mais pourquoi donc avec cette rage, cette douleur, pourquoi avec cette peur de te perdre ?
Comment est-il toujours possible tous ces sentiments qui n’arrêtent plus ?
À chaque instant, mon amour pour toi défie la sécheresse des rivières et l’ineptie de l’orage
A chaque seconde, mes sentiments pour toi narguent l’humilité des lieds et le caprice des concertos.
Aux tréfonds de la Galilée, dans les lignes de la Judée à l’autre bout du temps, dans les jutes du passé,
Mes murmures en berceuses assoupies vacillent au rythme du sable du désert et du vent de la nuit,
. . . ah que de misères et de larmes amères, que de douleurs . . . amour inaccessible.
Je devrais m’enfuir vers un autre monde, vers une autre terre, je devrais vivre ailleurs.
Qu’as tu donc fait de mes heures, de mes jours, qu’as tu donc fait de ma vie depuis ?
Mes sentiments pour toi malgré ton absence n’arrêtent pas, quelle peine ohhhhh quel désordre.
Crois-tu peut-être que je te ferai de la peine ou que je te ferai avoir des regrets ?
Penses-tu sans doute que je partirai demain ou que je t’abandonnerai ? . . . NON . . .
Parce que, mon seule envie est de t’aimer tout ce que je veux c’est être près de toi,
Mon seul désir est de te caresser tous les jours et adoucir tes moments amers.
Penche toi donc sur mon corps, ouvre les passages de mon cœur, prends lecture entre les lignes
Tu comprendras alors que mon âme n’a pour toi que des douceurs, des baisers et des je t’aime,
Que mon parcours désormais est nulle sans ta voix, sans ton regard, sans tes épaules, Oh toi . . .
Comprends-tu seulement que je t’aime, que je t’aime tout simplement.
Sais-tu que,
Je peux retrouver pour toi ces symphonies perdues et ces jazz entamés jadis,
. . . embrasse-moi tout simplement,
Je puis pour toi étendre mes mains et toucher les étoiles de cette large galaxie,
. . . tourne ton regard et souris-moi, . . . ALORS,
Je te bercerai tous les jours, fixera à tout moment ton regard et pour toi uniquement
Je tapisserai de bouton de roses blanches et d’anémones mauves les lits des rivières
Afin que tes pieds ne se heurtent contre les débris de la nature quand tu marches dans l’ombre ;
J’étalerai au cœur du brouillard des tissus de soie pour caresser ton corps quand tu te coucheras
Et au milieu de la nuit à la surface de cette immense étendue orangée, à la cadence des vagues
A la rythmique de mes mots, du refrain des rossignols et des petits oiseaux bleus
Je te ferais l’amour, toucherais ta pudeur, attiserais ton sensuel dans les limites de l’extase
J’exciterais ton émoi, humecterais ta peau de mes baisers mouillés et aux limites de ta jouissance,
Après ce jet de coulée chaude au fond de mes reins en attente, après ces indécences perverses
Je coucherais à tes pieds mes plaintes, mes murmures, mes désirs sensuels, . . . mon corps
Et, . . . Désormais,
Je légenderais dans les chapitres de mon cœur ces moments assoupis à la plénitude de ton âme.
Du deuxième Recueil: « Nuages Sensuels, charnels et indélicats » de Sybille Aisha Figaro **tous droits réservés**